La campagne œcuménique se consacre à nouveau à la justice climatique, en se concentrant cette année sur notre système alimentaire. La manière actuelle dont nous produisons et consommons de la nourriture est responsable de l’émission d’un tiers des gaz à effet de serre dans le monde. La crise climatique aggrave la faim dans le monde. Action de Carême et l’EPER voient une solution dans l’agroécologie. Cette approche globale améliore l’impact climatique de la production et de la distribution de nos aliments, du champ à l’assiette, sur les plans social, politique, économique et écologique. Plus de droits pour les petit·es paysan·nes, de nouvelles conditions pour une agriculture adaptée au climat, des relations commerciales équitables ainsi que la préservation de l’écosystème ne sont que quelques-uns des avantages de cette approche. Les organisations demandent davantage d’actions politiques et individuelles.
Cover
Éditorial